samedi 22 novembre 2014
Dix sept ans
Dix sept ans aujourd’hui
Innocente et épanouie
X fois papa attendri
Souveraine de mon cœur
Effusion d’amour intense
Petite fleur, pur bonheur
Tu es ma plus belle évidence
Ange, Angie ou Célia
N’oublies jamais que ton papa
Sera toujours là pour toi
vendredi 17 octobre 2014
Patience
Par delà les vertus
Au bord du chemin
Tout ici s'accentue
Inconstance du destin
Exaltante passion
Ne demande rien d'autre
Complaisante addiction
En attendant votre hôte
mercredi 1 octobre 2014
Les aléas de la vie
Charmante rosée du matin
Aube de sentiments partagés
Rires et bien être quotidiens
Oeuvre du temps, son effet
Rires et bien être quotidiens
Oeuvre du temps, son effet
Lendemains baignés de surprises
Indomptable nature de l'envie
Navigue entre curiosité exquise
Et contourne les aléas de la vie
Indomptable nature de l'envie
Navigue entre curiosité exquise
Et contourne les aléas de la vie
Fil d'Ariane de ce début d'automne
La patience est mon humble vertu
Éclosion de mots qui s'additionnent
Union d'une relation interrompue
samedi 26 juillet 2014
Epilogue d'un bonheur
Il n'y a plus de "nous" que dans mes souvenirs
Les années qui s'enchaînent t'ont fait naître le doute
Quand la désaffection remplace le désir
Un vent froid de rancœur balaie tout sur ta route
Et s'envolent les jours où tu étais ma belle
Comme s'enfuit le temps où tu m'as adoré
Les anciens mots d'amour s'épuisent et s'amoncellent
En un tas tout fané que tu souhaites effacer
Je rayerai l'odeur de ce matin d'automne
Où tu m'as avoué ne plus savoir m'aimer
J'oublierai tes paroles, ton regard qui sermonne
Aphrodite est partie, ensemble c'est terminé
Je t'abandonne seule face à "notre" destin
Libre de t'envoler ou de me revenir
Mais si à ton bonheur ma présence est un frein
J'obligerai mes mains à te laisser partir
mercredi 12 mars 2014
L'inexistence de l'écrit... vain
Surprenant brouillon de l'écrivain
Incroyable extrait pour vous
Indéfinissable envie de rien
Remarquable essai de fou
Inconcevable parenté des liens
Étrange ébauche qui échoue
Improbables vers clandestins
Insaisissable sujet tabou
Et finalement,
Ce poème n'existe en rien !
vendredi 14 février 2014
Au-delà de toi
L'envie bien au-delà, de toute sa puissance
Comme un fragile ego, bien trop près du soleil
A voulu profiter de sa couleur vermeil
Mais s'est brûlé les ailes, en toute innocence
Face à telle débâcle, singulière métaphore
L'envie bien au-delà, de toute sa puissance
Malgré sa volonté, sa fougue s'évapore
En un piètre gâchis, cachant son arrogance
Ne s'avouant pas vaincu, c'est bien par ignorance
Qu'il porte jusqu'aux nues, avec force et espoir
L'envie bien au-delà, de toute sa puissance
Ce qu'il a attendu sans réellement y croire
Alors résigné, corps et âme en souffrance
Se balancent sans joie dans un triste ballet
Avec peine et misère où se perd à jamais
L'envie bien au-delà, de toute sa puissance
lundi 22 juillet 2013
Contre-temps et nouvelle ère
Accentuer nos différences temporaires
C'est entamer un combat épuisant
Ne pas se tromper d'adversaire
Eviter l'abordage à contre-temps
Se projeter vers une nouvelle ère
Anticiper les meilleurs moments
Ne pas prétendre le contraire
Simplement apprécier cet instant
samedi 22 septembre 2012
Les larmes au bord des mots
Expression d’un sentiment dissipé
Difficile acceptation qui blesse
Epilogue d’un univers écroulé
Comment admettre cette injustice
Et faire face à tant d’impuissance
Tous mes actes ne sont que préjudice
Et semblent accentuer ma pénitence
Alors ne me reste pour seule arme
Lâcher le désespoir, raviver le flambeau
Où résonnent comme un cri d’alarme
Mes larmes au bord des mots
mercredi 11 juillet 2012
L'écho des pluies

Fort sournoisement, en silence se répand
Envahi un été qui refuse de naître
Enfile son costume d'un gris flamboyant
Et tout doucement frappe à la fenêtre
La pluie s'invite ici en réponse à l'écho
D'une bruine orpheline partie en vadrouille
Plus intensément pour devenir ruisseau
Abreuver la nature pour qu'elle s'agenouille
Triste spectateur de ton oeuvre qui fâche
Nous te subissons, malgré nous, impuissant
Avec un seul espoir auquel on s'attache
Que vienne ce jour, comme le messie te chassant
Malgré ta bonté pourtant accablante
Au ressenti populaire empli d'amertume
Souvent nécessaire, parfois menaçante
Synonyme de tristesse dont tu nous parfumes
jeudi 14 juin 2012
Le train-train du quotidien
Quand, au bout de l’horizon, arrive le convoi
Sur le quai, c’est l’attente qui tire à sa fin
Les valises sous les yeux, les valises sous les bras
Fait son entrée en gare, enfin voilà le train
Aspiré par la rame, chacun cherche des yeux
Un siège bien moelleux pour pouvoir s’y poser
A l’affût d’une place, tout l’espoir des chanceux
Pour faire le voyage, au moins bien installé
Bercé au son des rails et du ballottement
S’évade dans un coin le lecteur assidu
Ailleurs, une jeune fille fixant frénétiquement
Son cher téléphone, comme si c’était l’élu
Et puis il y a ceux pour qui le paysage
Est l’unique passe-temps qui les tient en éveil
Au milieu des discours, trêve de bavardage
Oublier les minutes perdues de leur sommeil
A la fin du voyage sonne le terminus
Reprendre le quotidien, mais rien de très glamour
Une journée de travail, signe d’un nouvel opus
En attendant le soir, le chemin du retour
vendredi 8 juin 2012
Mot à mot
Les mots de tes gestes
Comme ceux de tes yeux
Sont des mots de tendresse
Libres, forts et silencieux
Même les mots insolents
Ou les mots inconnus
Nous reviennent en passant
Pour nous mettre à nu
Tous ces mots magiques
De la vie qui s'écoule
Tendance hémorragique
De nos maux qui nous saoulent
Mais les mots qui s'étrillent
Dans nos coeurs motivés
Se forment, dansent et scintillent
Comme des mots-croisés
jeudi 7 juin 2012
Occasion d'un week-end...
S'extraire du quotidien, aller à l'abordage
Dans une autre région, vers un nouvel eden
A la recherche de nouveau comme un simple partage
Mais le vent et le froid pour unique compagnon
Nous ont agressé sur ces bien tristes remparts
Et la pluie pour accueil en seule réception
Nous a poursuivi comme unique cauchemar
D'une si belle ville, rien ne nous est apparu
Comme les autres la décrivent avec tant de vertu
Si seulement un instant, nous avait éclairci
De sa douce chaleur, le soleil en sursis
Mais le plus important est de s'être retrouvé
En famille soudée et avoir entrevu
Un agréable week-end, nous avons partagé
Car ensemble réunis, heureux nous avons vécus
En famille soudée et avoir entrevu
Un agréable week-end, nous avons partagé
Car ensemble réunis, heureux nous avons vécus
dimanche 11 mars 2012
Pour toi... mon fils
Quelques années après sa soeur
Evan a pointé le bout de son nez
Pour devenir un autre enfant bonheur
Toi, le cadet de la fratrie
Tu as du te faire une place
Dans nos coeurs, tu as grandi
Dans ta famille, trouvé ton espace
Aujourd'hui, déjà 11 ans
Plus un enfant, un petit homme
Bien que de plus en plus grand
Tu restes mon petit bonhomme
Je t’aime de toute mon âme
Et te fête ton anniversaire
Mon fils, mon petit Evan
Mon enfant dont je suis fier
mardi 14 février 2012
D.O.R.I.S
O dyssée féerique de mes jours
R equiem de passion et d’envie
I rrésistible nécessité de toujours
S ans toi, que serait ma vie ?
mardi 31 janvier 2012
L’art de conter
Choisir un conte, un texte au hasard
Ouvrir son âme, découvrir une histoire
La ressentir puis la mémoriser
Enfin l’apprendre pour se l’approprier
Apprivoiser le stress, oublier la peur
Se laisser aller et entrer en piste
Se jeter dans l’arène, bienvenue bonheur
Ne plus reculer, bienvenue l’artiste
A coup de gestuelles et d’intonations
Se dévoile sur la scène, à nu, le narrateur
Dans les yeux du public, naissent les émotions
Se forment les images dans la voix du conteur
Saltimbanque moderne, ici pour enchanter
S’immerger dans l’histoire, ouvrir ses oreilles
Ailleurs pour un soir, le cœur s’émerveille
Le public se prosterne, ravi, ensorcelé
Devant la clameur, les applaudissements
Alors tout son corps se met à vibrer
D'ivresse, d’allégresse, de joie partagée
Le but est atteint, apprécier ce moment
Vivre cette passion et s’en délecter
C’est magique et c’est ça : l’art de conter
mercredi 11 janvier 2012
Il y a...
Il y a les longtemps
Il y a les toujours
Il y a les vraiment
Il y a de l'amour
Il y a quelque temps
Il y avait l'avant
Il y a à présent
Que des bons moments
Il y a avec toi
De le fête, de la joie
Et quand tu n'es pas là
Que le manque est en moi !
Il y a les longtemps
Il y a les toujours
Il y a les vraiment
C'est bien ça l'amour !
mardi 10 janvier 2012
Des chants, des toiles
Essayer de vivre le moment présent
Sur les tracas tenter de mettre un voile
Pouvoir m'abreuver de ton chant
Laisser mon âme se fondre dans des toiles
Puisqu'il faut tracer son chemin
Apprécier pleinement le bonheur en face
Que la vie simplement pose dans ma main
L'attraper, s'accrocher, avant qu'il ne s’efface
Apprivoiser peu à peu le destin
S'abandonner, quoi de plus normal
Regarder l'avenir, vivre avec le tien
Et me noyer dans ton champ d'étoiles
mardi 27 décembre 2011
L'indéfinissable besoin de rien
Indéfinissable besoin de rien
Incroyable nécessité de tout
Insaisissable désir du tien
Remarquable envie de nous
Inconcevable retour en vain
Improbable garde-fou
Improbable garde-fou
Étrange sentiment que le mien
Comme un éternel avant-goût
Comme un éternel avant-goût
Et si l'amour faisait du bien ?
mercredi 21 décembre 2011
A contre temps (l'horloge sans aiguilles)
Plus de temps pour s'animer
Rien ne se passe, plus d'instant
Si l'horloge ne fait plus tourner
Ses aiguilles au demeurant
L’avant poursuit donc l’après
L’hier, lui, suit le demain
Le devenir précède le passé
Le temps inverse le chemin
Subite passage vers l’inattendu
Surprenant contre-courant qui dérange
Où l'avenir se jour de l'instant perdu
Division du temps, subtil mélange
Mais dans ce silence au temps fort
Survient l'action du moment présent
Dans une faible mesure en contrefort
Pour prendre le pas à contre temps
Depuis, l'horloge est orpheline
De ses aiguilles, elle pleure
Ses quelques minutes qui illuminent
Son fier cadran, ses plus grandes heures
Depuis, l'horloge est orpheline
De ses aiguilles, elle pleure
Ses quelques minutes qui illuminent
Son fier cadran, ses plus grandes heures
dimanche 18 décembre 2011
Charme
Douce personnalité qui se promène en toi
Avec qui je ne me lasse de passer un moment
Me plongeant dans cette abîme avec grand émoi
Te regarder est tel un enchantement
Te côtoyer engage la séduction
Ton charme ne souffre d’aucune ride avec le temps
Et fait de toi un être pleins d'émotions
Si tu doutes, un jour, de ce fort pouvoir
Ne succombes pas à tes peurs intérieures
Laisses donc aux autres un peu entrevoir
Ce que tu dégages n’est que pur bonheur
jeudi 8 décembre 2011
Avalanche de mots blancs
En plein coeur de l'hiver
Retentissent des mots blancs
Comme étendus sur la terre
Et balayés par le vent
Au grand froid qui nous chasse
Vers nos foyers si douillets
Où l'on cherche l'amour en préface
Entonné par nos proches tant aimés
En avalanche de joie
Tant de bonheur à partager
D’allégresse qui festoie
Pour réchauffer l'amitié
Dehors se déchaînent les maux
Rupture d'un surprenant fracas
Ici face au silence des mots
La chaleur des coeurs prend le pas
lundi 5 décembre 2011
Colère
Obscur sentiment intérieur
Coup de sang, émotion primaire
Forte agitation et néfaste humeur
Etrange réaction que cette colère
Le cœur s’emballe
Le corps s’emporte
Le calme s’efface
Envie de crier trop fort
C’est l’explosion de nos pensées
L’emportement sans discernement
La violence des mots s’est échappée
La colère nous gagne brusquement
Les paroles dépassent alors la raison
Entraînent une incontrôlable perte de soi
Les actes ne permettent plus le pardon
Puis vient le doute et souvent le désarroi
samedi 26 novembre 2011
De l’ombre à la lumière
Tel un morceau de nous marchant dans nos pas
Toujours en retrait comme une âme cachée
A chaque instant présente et jamais nous quitter
Elle se joue de nous comme une souris et un chat
Souvent à l’affût, toujours prête à bondir
Elle attend patiemment un bref mouvement
Silhouette sur le mur se dessine en passant
Croquant à l’idem notre corps sans férir
La prendre par surprise, essayer de la fuir
Tenter de l’esquiver pour la faire réagir
Mais invariablement elle est toujours derrière
Alors finalement dans une ultime tentative
On s’incline devant elle pour la mettre en lumière
Car elle nous colle à la peau comme une ombre fugitive
mardi 22 novembre 2011
Pour toi... ma fille

Source de vie, source de joie
Béni des cieux comme un cadeau
Un enfant est venu un jour à moi
Dans mon cœur a hissé son drapeau
Je me souviens encore de ce jour
Où ton regard dans le mien s’est planté
En symbiose tous les deux sans détour
A gravé le début de ma parenté
Toi mon enfant, ma cueillette
De jour en jour tu avances
Ma petite fille, ma fée clochette
Qui peu à peu sort de l’enfance
Aujourd’hui jeune fille en fleur
S’épanouit au gré des saisons
Trottine sur le chemin enjôleur
De l’adolescence à l’âge de raison
Et en ce mois de novembre
Encore un peu plus tu grandis
Aujourd’hui 14 ans tu vas rendre
Encore heureux le papa que je suis
lundi 14 novembre 2011
Quand l'amour s'enfuit
Quand l'amour s'enfuit, quand l'amour s'en va
Que nous reste-t-il de ces dernières années
A part des miettes de vie, des miettes de joie
De tout ce bonheur de nos instants partagés
Il nous a entraîné dans un tourbillon de fracas
Et envahit notre esprit jusqu’à la déraison
Mais l’amour revient au galop, à grands pas
Et ravive le feu que l’on nomme passion
Au fin fond de nos yeux, au fond de nos âmes
Nous l’avons toujours su sans jamais le voir
Notre amour persistant de nous deux réclame
Que nos coeurs s’emplissent d’un nouvel espoir
Quand l’amour s’enfuit… il revient à grands pas
jeudi 10 novembre 2011
Le silence des étoiles
Quoi de plus silencieux
Qu’une étoile qui s’éteint
Quoi de plus merveilleux
Qu’une âme qui revient
Céleste dans le vide sidéral
Intense au fond de l’espace
Brille, brûle et se dévoile
Tout en douceur, tout en audace
Si loin de tout, pourtant si proche
Bouts de cailloux qui furent comme elle
Côtoyant les planètes, les morceaux de roches
Une étoile, un bijou, quelque chose d’immortel
Par delà les nuages, étoile éternelle
Se présente à nous comme une évidence
Poussière d’ange devenue sentinelle
De cette immensité, de ce silence
vendredi 4 novembre 2011
La quête des sens
A la recherche du meilleur
Ressentir tous les sentiments
Etre transporté vers l'ailleurs
C'est ainsi sans s'en apercevoir
Que chacun puise au fond de soi
Se découvrir un peu d'espoir
Pour l'offrir avec émoi
Tous nos sens en éveil
Prêts à bondir à l'affût
S'extirper de leur sommeil
Pour vaincre cette inconnue
Réussir à en prendre conscience
Surmonter la difficulté
Se mettre en quête des sens
Et ne jamais abdiquer
vendredi 28 octobre 2011
Automne d'octobre
L'été nous a fuit et fait place à l'automne
Laissant derrière lui la chaleur en pagaille
Tout comme les mois dépassés par octobre
La lumière faiblit, se transforme en grisaille
La nature s'est enveloppée de son habit de pluie
Les arbres commencent à pleurer leurs si vert feuillages
Devenus jaune, rouge et doré comme une nouvelle vie
Pour offrir et mourir dans un nouveau paysage
jeudi 27 octobre 2011
Le chemin des ronces
Heureux qui comme lui a fait un long voyage
Et parti au lointain en quête de réponses
A travers la poésie il a trouvé le message
Qui l'a conduit ici sur le chemin des ronces
De cette frontière il va franchir le pas
Et mener sa barque vers des temps meilleurs
Assoiffé de savoir plus que de tracas
Enfin il va connaitre ce monde de douceur
Un univers de songes et de belles images
A peine découverts se mélangent à l'honneur
Cachés au fond des mots pour unique partage
Et finissent leurs vies dans les mains du bonheur
Mais ce chemin de croix et vide sentiment
Toujours difficile sans que quiconque renonce
Au fin fond de soi sonne comme un châtiment
Car il porte bien son nom : le chemin des ronces
lundi 17 octobre 2011
Une journée particulière
C’est une journée particulière
Pas pour chacun mais bien pour lui
Aujourd’hui c’est son anniversaire
Qui se fête et qui le réjoui
Encore une année supplémentaire
Que son corps va devoir subir
Mais tant que sa tête peut s’y faire
Toutes ces années ne vont pas le nuire
Et pourtant déjà il ressent
Le poids des ans sur son moral
Même si sa vie est à présent
Loin du crépuscule terminal
Mais ce moment plaisant et furtif
Une seule journée ne va durer
Et que demain déjà sera fugitif
De cet abstrait sentiment passé
C’est une journée particulière
Car aujourd’hui c’est...
MON ANNIVERSAIRE
MON ANNIVERSAIRE
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