Les gens te piétinent
Le vent te câline
La mer te rechigne
Et toi, tu ne dis rien
Tu deviens parfois château
Trou ou tas trop haut
Désert loin s’en faut
Et toi, tu ne fais rien
Le soleil te brûle à tout va
La pluie s’abat sur toi
La neige te rend tout froid
Et toi, jamais tu ne te plains
Les autres souvent t’associent
A la beauté, au sel ou à la folie
Mais ici d’amusement je te décris
Toi, du sable dont tu es le petit grain
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